Aller au contenu

Libertine Bakehouse, la pâtisserie hors du commun de Saint-Henri

Des bases classiques pour des créations pâtissières inédites
Libertine Bakehouse, créée par Nick Kemball et située dans le quartier Saint-Henri, élargit les horizons de la pâtisserie traditionnelle.

Malheureusement la pâtisserie a fermé ses portes :/

Mordus de pâtisserie, vous trouverez chez Libertine Bakehouse quelques-uns de vos classiques préférés : Saint-Honoré, Paris-Brest, tarte aux fruits… mais attention, ils ne seront pas tout à fait tels que vous les avez connus jusqu’ici…

Libertine Bakehouse, installée depuis décembre 2016 à quelques mètres du métro Lionel-Groulx, n’est pas une pâtisserie comme les autres. Et son chef, Nick Kemball, aime à le faire savoir. Avec un logo en forme de chou à la crème et de tête de mort, un squelette couleur vert d’eau installé dans un coin et les lignes épurées du local, le design de Libertine Bakehouse ne laisse déjà pas indifférent. Conçu par son partenaire Michael Ayoub, il est à l’image de ce que l’on va retrouver au comptoir.

Libertine-bakehouse-montreal-prevel
Un décor épuré pour des créations décalées.

Avant de lancer sa propre affaire, Nick Kemball est passé notamment par Patrice Pâtissier et le restaurant Toqué! Ses nouvelles créations, Nick les a voulues aussi funky que hors du commun. Chez Libertine Bakehouse, tout est travaillé à la main et les recettes prennent forme au fil des saisons et au gré des envies et autres excentricités du chef. Et si la base reste classique, elle comporte toujours une petite touche de folie.

Libertine-bakehouse-montreal
Un squelette comme mascotte chez Libertine Bakehouse.

« Lorsqu’ils entre ici, je veux que les gens se disent que l’on ne se limite pas toujours aux règles. Mon idée? Jouer avec des saveurs non-conformistes et trouver un petit « je-ne-sais-quoi » pour détourner le côté traditionnel des pâtisseries à la française », Nick Kemball, chef de Libertine Bakehouse.

patisserie-libertine-montreal
Le Paris-Brest à la pâte miso : une découverte à ne pas manquer!

Quand la technique s’allie à l’excentricité

Résultat, votre Paris-Brest est bien praliné, mais pas seulement, puisqu’il a suffi d’une idée, d’un ingrédient, pour que cette pâtisserie traditionnelle prenne une toute autre dimension : le miso Massawippi, un miso non seulement biologique, mais aussi non pasteurisé et québécois. Une seule bouchée dans ce petit délice vous transportera, vous et vos papilles, dans un univers culinaire et gourmand d’où vous ne ressortirez pas indemnes.

Votre sentence? Vous voudrez y retourner, encore et encore! Car si la carte de Libertine Bakehouse est plutôt courte –5 pâtisseries évoluant au fil des saisons et quelques fabuleuses viennoiseries–, elle se distingue par son originalité et ses inspirations.

Libertine-bakehouse
Succombez à la délicieuse tarte aux camerises

La petite nouvelle de cette saison en témoigne : la tarte aux camerises, ces baies québécoises au goût prononcé de cassis dont l’acidité est contrebalancée par une crème chantilly onctueuse de maïs, est couronnée  d’un insolent popcorn à la fleur de sel. L’ensemble donne un résultat aussi réconfortant qu’impertinent, à l’image de la créativité de Nick Kemball et de son sous-chef français, ancien de chez Christian Faure.

Patisserie-Libertine-Montreal-prevel-blogue
La viennoiserie signature de Libertine Bakehouse : la brioche feuilletée.

Côté viennoiseries, les aficionados ne seront pas en reste. Un brownie caramel fleur de sel qui vous laissera bouche bée; une brioche feuilletée en deux versions –nature ou chocolat– marque de fabrique de l’établissement; un financier amandes, fenouil, citron et son acolyte framboise, rose et pistache… voilà quelques autres petites douceurs insolites de la vitrine.

Libertine-patisserie-montreal-prevel-blogue
C’est derrière cette large façade noire que se préparent de fabuleux desserts.

Et rien que pour vous, un petit scoop : en ce moment même, les équipes du Libertine Bakehouse effectuent des tests pour créer environ 500 bûches de Noël… De quoi laisser rêveur pour les fêtes!

Poursuivre votre lecture

Retour au blog

On ne monte pas des murs. On essaie de les faire tomber. 

Notre aventure commence dans les rues du Vieux-Montréal et s’étend jusqu’à Griffintown, révélant comment des projets tels que Le Seville et le Lowney ont non seulement revitalisé des quartiers, mais également redéfini le concept de vivre en ville. Le Vieux-Montréal et Quai de la commune Dans les années 1990, le Vieux-Montréal entame sa métamorphose. Nous…
Lire l'article