Aller au contenu

Attraction urbaine

2012-01-26-Esplanade-Parc-Olympique

Par Patrick C. Archambault

Plusieurs villes sont connues pour une ou même plusieurs attractions.

Paris a sa Tour Eiffel et son Arc de Triomphe, New York a sa Statue de la Liberté, Sydney a sa maison de l’Opéra…

Montréal est encore souvent représentée sur le plan mondial par son Stade Olympique. Cependant, il y a une différence notable entre les villes citées plus haut et la nôtre : ces villes misent sur leurs attractions, elles en font la promotion, elles en sont fières!

Même si Montréal est connue pour son Stade, celui-ci demeure un sujet tabou chez les Montréalais puisque nous ne lui avons toujours pas trouvé de nouvelle vocation depuis le départ des Expos en 2004. Il est perçu par plusieurs comme un gaspillage d’argent.

Je rêvais depuis longtemps qu’un jour viendrait où nous pourrions nous vanter de ce stade unique au sein de notre ville. Ce jour est peut-être plus près que je ne me l’imaginais! Dès 2012, l’esplanade du Stade Olympique prendra un virage vers une vocation culturelle. Selon le site du Parc Olympique, cette nouvelle vocation aura pour but de :

  • Favoriser le développement économique de Montréal et du Québec en faisant du Parc Olympique une destination touristique de choix, tant à l’échelle nationale qu’internationale.
  • Viser une meilleure intégration des résidents de l’arrondissement Mercier?Hochelaga-Maisonneuve dans les activités du Parc Olympique.
  • Démontrer le caractère distinct et original du Parc Olympique au sein de l’offre événementielle montréalaise et québécoise.
  • Habiter les aires extérieures du Parc Olympique douze mois par année.
  • Renforcer l’offre événementielle montréalaise et québécoise.

Il s’agit d’une excellente nouvelle! Je vous invite à lire cet article sur l’Esplanade Financière Sun Life en cliquant ici.

Je suis confiant qu’un jour pas trop lointain nous pourrons, nous aussi, être fiers de notre Stade Olympique et qu’il pourra redevenir une attraction touristique comme l’architecte Roger Taillibert le souhaitait dans les années 70!

Et qui sait, peut-être même le retour des Expos?!

Patrick

Poursuivre votre lecture

Retour au blog

On ne monte pas des murs. On essaie de les faire tomber. 

Notre aventure commence dans les rues du Vieux-Montréal et s’étend jusqu’à Griffintown, révélant comment des projets tels que Le Seville et le Lowney ont non seulement revitalisé des quartiers, mais également redéfini le concept de vivre en ville. Le Vieux-Montréal et Quai de la commune Dans les années 1990, le Vieux-Montréal entame sa métamorphose. Nous…
Lire l'article